TORCHIAT YAHIA
Né le 27.10.1950, au village Aourir athehsiyen
Commune Akfadou, Wilaya de Béjaia.
Fonctionnaire à l’ESI (ex : CERI en passant par l’INI)
TORCHIAT YAHIA
Né le 27.10.1950, au village Aourir athehsiyen
Commune Akfadou, Wilaya de Béjaia.
fonctionnaire à l’ESI
(ex : CERI en passant par l’INI)
RECUEIL DE CITATIONS NOTES D’HUMOUR
ET HISTOIRES ORIGINALES
AVERTISSEMENT
Avant tout, je me dois de demander l’indulgence des lecteurs pour ne pas avoir cité les
auteurs des citations qui ne sont autres que celles que j’ai acquises par l’école de la vie.
C’est en m’inspirant du proverbe qui dit : il faut un peu de tout pour faire un monde, que
l’idée m’est venue d’écrire un peu de tout et ce, dans l’espoir de faire plaisir a tout le monde.
C’est dans ce contexte qu’il ma paru de commencer par la plus juste
Il nous arrive de nous dire,
Qu’il n’y a pas de plus lent temps,
Que celui qu’on attend, surtout,
Quand il s’agit d’un heureux événement,
Alors que ce qui arrive à temps,
N’est autre que celle qui nous attend,
Qu’on se doit d’évoquer souvent,
Sans pour autant citer son nom :
Il s’agit tout simplement de celle
Qui ne fait aucune exception ni distinction.
CITATIONS
Un sourire ne vaut rien
Mais il est agréable à voir
C’est un signe de bienveillance
Il inspire la confiance
Il encourage l’enfant et
Réconforte les malades.
Le rire est conseillé pour l’estomac
Il guérit l’ulcère pour celui qu’il a
Il l’évite pour celui qui ne l’a pas.
Il n’y a pas de plus heureux
Qu’un souvenir heureux
Dans un temps malheureux.
Tout être de bonne foi
Se doit de souhaiter à son prochain
Ce qu’il souhaite pour soi
Nul ne peut s’estimer fort
Que s’il est maître de soi
Il n’y a pas de plus dur combat
Que celui de lutter contre soi
Tout mal vient de soi
C’est par soi qu’il est réparé
C’est par soi qu’il reste impuni
Derrière un rideau blanc
Il y a toujours un rideau noir
Et vice-versa
Ne jamais forcer le destin
N’accueillir le bonheur
Que d’une seule main
Car un malheur peut le suivre
Et vice-versa
Chaque maladie a son traitement
Chaque douleur est suivie d’un
Soulagement …comme après
La pluie vient le beau temps.
Toutes les choses vont de paires
Le fond et la forme
L’art et la manière
Le geste à la parole
La théorie et la pratique …etc.
Surtout le travail et la vigueur, soit,
Deux clés pour garantir l’avenir d’un pays
On peut tromper quelqu’un chaque fois
Quelques uns des fois
Mais pas tout le monde à la fois
On peut aider quelqu’un auquel il
Manque 1 point pour faire 20
On peut aider quelqu’un auquel il
Manque un bout pour avoir le tout
Mais pas celui qui n’a rien du tout …
A moins qu’on lui donne le tout.
Quand on a affaire à quelqu’un
Sans foi ni loi
Il nous reste qu’une seule voie :
Celle de la résignation.
Tous les vices se corrigent avec le temps
A l’exception d’un seul où tout
Le monde a échoué :
Celui des stupéfiants.
Tout meurt chacun à son trépas
Seule dans l’univers
La vertu ne meurt pas.
Quoiqu’on dise quoiqu’on fasse
Il y a toujours un retour à l’évidence :
Celle de retourner d’où et comme on
Est venu … vide et nu.
Le meilleur don est de partager
Le peu qu’on a et ce avec discrétion
Car la façon de donner vaut plus que le don
A quoi bon de monter très haut
Illégalement puisque on finira par
Dégringoler … et plus dure sera la chute.
On ne reconnaît la valeur de l’eau
Que lorsque le puit est à sec
En voulant trop gagner
On risque de tout perdre
Les visites rarement
Sont les plus aimées souvent
Méfies toi de tes amis
Tes ennemis tu les connais.
La nuit porte conseil
Mieux vaut dormir avec un souci
Que de se réveiller avec un remord
Ou un regret
Chacun a sa façon de voir
Même si on a la même vue
Mais on n’a pas le même regard .
Ne jamais reculer devant son devoir
Est le propre de l’homme.
La curiosité est un vilain défaut
Quand elle s’ingère dans l’intimité
Mais quand on l’exploite dans le
Domaine du savoir : Elle devient
Intellectuelle.
L’homme se doit de se distinguer par
Son savoir et non par son avoir
Il est vrai qu’il y a ceux qui sont
Uniquement gardiens ou esclave de
Leur argent, mais il y a également ceux
Dont leur argent leur apporte le respect
La considération et l’honneur :
Ce sont ceux qui l’exploitent dans
Les domaines d’emploi, de nobles actions
Du développement et de la recherche
Dans les yeux d’un jeune
Il y a des flammes
Dans ceux d’un vieillard
Il y a de la lumière
Ton petit déjeuner, tu le prends seul
Ton déjeuner tu le partages avec ton ami
Ton dîner tu le donnes à ton ennemi
Soit,
Manges très bien le matin
Moyen l’après midi
Très peu le soir,
NOTES D’HUMOUR
Le poisson et l’appât
Un poisson vient accueillir l’appât :
Que fais-tu ici ! Toi qui n’est pas d’ici ?
Attention ! Lui dit le poisson ;
Celui qui m’a envoyé n’est pas loin d’ici ;
Si tu me manges ;
Il te mangera toi aussi.
Un journal non imprimé
Par une belle nuit d’hiver, ensoleillée ;
A la lumière d’une bougie éteinte ;
Un vieux jeune homme debout assis ;
Sur une pierre en bois rouillé ;
Lisait un journal non imprimé ;
Plié en quatre dans sa poche ;
Où il découvre la mort de ses enfants
Qui ne sont pas encore nés.
Test pour malades mentaux
Après un long traitement, un psychiatre fait un test à deux de ses malades ;
Bon ! Toi tu te mets à coté de cette table et tu fais en sorte que tu es un boucher ;
Quant à toi « en s’adressant au second », tu fais en sorte que tu es un client et vas chez le
boucher ;
Le client s’adresse au boucher : Donnez moi du paracétamol ! Je suis désolé, lui répond le
boucher ;
Le médecin tout content, vient interroger le boucher qu’il croyait conscient ;
Pourquoi tu ne veux pas lui vendre ?
parce qu’il n’a pas d’ordonnance.
Souhait d’un enfant appelé à être scolarisé
Le père fait visiter à son fils l’école où il sera scolarisé plus tard ;
Il le fait entrer dans une classe et lui dit :
Mon fils ! C’est ici que tu apprendras à lire et à écrire
C’est là où tu construiras ton avenir au même titre
Que tous ces enfants ;
Un instant après, son fils lui répond ;
Et le grand en face qu’est ce qu’il fait ici ?
C’est un instituteur mon fils ;
Et pourquoi il a un bâton à la main ?
C’est pour frapper les enfants qui ne savent pas lire ni écrire ;
Dans ce cas dit l’enfant : Tu m’inscriras pour faire instituteur.
Conditions exigées pour un mariage
Un vieux couple se sentant très fatigué
Et ayant besoin d’une personne pour les assister,
N’a autre choix que de marier leur seul et unique garçon,
Agé de 40 ans, chômeur et sans profession.
La maman ira voir son fils pour lui tenir le langage suivant :
Chers fils ! Je suis très vielle, je ne peux plus m’occuper
de toi et de ton père en même temps,
Il nous faut quelqu’un pour nous aider,
Ne serait-ce pour nous préparer des repas chauds,
Laver et repasser le linge…surtout le tien ;
Cher fils : je pense qu’il est temps de te marier ;
Après une longue réflexion, son fils lui répond :
Chère maman : Je te comprend parfaitement,
Mais je te demanderai de me comprendre également ;
Chère maman ! Les temps ont changé et les êtres aussi ;
L’époque où vous viviez d’amour et d’eau fraîche est finie ;
De nos jours, il n’y a plus de mariage d’amour ni de raison…
Il n’y a que des mariages d’affaires.
Chère maman ! Si tu veux que j’exauce ton vœu,
Il te faudra exaucer le mien :
Il faut me trouver une fille qui répond à mes conditions ;
Quelles conditions ! Mon fils ?
Il me faut une blonde aux yeux verts,
Grande et taille fine,
Ne dépassant pas les 25 ans,
Possédant un grand logement à défaut d’une villa et deux voitures…
La maman ira voir son époux pour lui faire part des conditions de son fils ;
Son mari plus curieux qu’étonné lui répond :
Chère madame ! S’il existe des filles de ce genre :
Moi aussi j’en voudrai une.
Le rêve inassouvi d’un vieux célibataire
Un vieux célibataire s’achète tous les jours un journal
Où il ne s’intéresse qu’aux annonces concernant le mariage.
Un jour, il découvre l’annonce suivante :
Femme aisée ;
Agée de 40 ans ;
Taille fine ;
Brune aux yeux verts ;
Possédant villa :
Cherche un homme de 45 ans posé et cultivé;
Voilà enfin une femme qui sait ce qu’elle veut et qui vient de frapper à la bonne porte ;
Compte tenu des voyages et de l’école de la vie qui m’ont formé, je suis l’homme qu’elle
cherche ;
Il s’achète un bouquet de fleurs blanches et le voilà parti pour la demander ;
Après lui avoir présenté ses hommages, la femme l’accueille avec bienveillance et lui dit
d’attendre dans le couloir (Le temps qu’elle dépose les fleurs dans un vase);
Entre temps, le vieux célibataire s’est vu étonné par une variété de couvre-chefs accrochés au
portemanteau.
Quand la femme est revenue pour le faire entrer au salon, le vieux lui demande :
C’est quoi tous ces chapeaux et bérets ?
Ce sont les souvenirs de mes défunts maris;
Ce chapeau appartenait à un avocat ;
Ce béret à un pécheur ;
Cette casquette à un mécanicien…etc
Quant à ce grand bonnet « Le 7 ième », il appartient à un gros bonnet ;
Eh bien ! Chère madame Gros bonnet :
Je vous laisse mon manteau et mon chapeau
Et vous direz au prochain candidat qu’ils appartiennent
A un vieux de la vielle qui a su sauver sa peau.
Un mouton pour un permis de conduire
SALIM persiste à avoir un permis auquel il échoue à chaque examen
et toujours à la même épreuve : Celle des intersections.
Curieux de savoir comment les autres l’ont eu, il alla s’informer
auprès de son ami, qui lui à répondu comme suit :
Mon cher ami SALIM ! Si tu veux avoir ton permis avec si SLIMANE,
tu devras lui offrir un cadeau.
Comme son prochain examen aura lieu une semaine avant la fête du mouton;
SALIM n’a pas trouvé de plus simple que de charger son ami d’un mouton à remettre à
l’ingénieur SI SLIMANE sans qu’il lui dise de la part de qui.
Le jour de l’examen, l’ingénieur SI SLIMANE demande à SALIM de faire passer les voitures
dans l’ordre.
Après une longue temporisation, SALIM commence à murmurer…
Hem ! hem ! …Normalement …Normalement…Enfin, je pense que !!!
Qu’est ce que tu veux dire par normalement que…etc, lui dit SI SLIMANE !
Je veux dire que normalement…c’est le mouton qui passe en priorité, mais bien sûr que c’est
le mouton qui est prioritaire , Bravo SALIM;
Toutes mes félicitations et merci pour le mouton.
Un fourgon chacal
SALIM (fils d’un émigré) qui s’est toujours contenté de son troupeau,
A fini par être attiré par le monde de la civilisation ;
Pour sortir de la routine, il va voir son père pour lui faire part de sa proposition ;
Papa ! Je vais te demander une chose à laquelle je souhaiterai que tu sois d’accord ;
Que veux tu me demander ?
Pour être bref et clair, je te demanderai de m’acheter un fourgon ;
Mon fils ! Chaque chose a son temps et chaque être a sa vocation,
Sachant que tu n’es pas fait pour la conduite,
Je pense qu’il vaut mieux t’occuper de tes moutons ;
Papa ! Dis-toi que j’ai déjà mon permis,
Et le fourgon dont je te parle appartient à un ami,
Et je l’ai déjà conduit, c’est pour cela que je veux l’acheter.
Puisque tu as tout prévu, je vais te l’acheter, mais à l’avenir,
Je ne veux pas que tu me demandes de l’argent pour les réparations.
Le marché conclu, voilà que le lendemain,
SALIM est devenu transporteur des voyageurs.
Aussi malheureux soit-il, dès le premier jour,
Il est tombé dans un fossé, il s’est vu contraint,
De vendre un mouton pour le réparer.
Un mois après, il heurte un camion,
Il vend deux moutons pour le réparer, ainsi de suite ;
Jusqu’au jour où il s’est fait heurté par un semi-remorque,
Alors qu’il ne lui reste plus de moutons,
Quelques mois plus tard, le vendeur rencontre SALIM;
Salut SALIM, comment vas-tu ?
Est-ce que tu travailles bien avec le fourgon ?
Laisse moi tranquille, tu n’est qu’un porte-malheur ?
Tu m’as vendu un chacal.
KHALTI Mliha et le chauffeur d’un fourgon
Khalti Mliha est de nature généreuse et gentille sauf quand on lui parle de son petit fils qu’elle
aime bien mais qui est nul en classe.
Un jour, elle est montée dans un fourgon où elle a pris place à coté du chauffeur qui la
connaît.
Voilà donc qu’une occasion se présente au chauffeur pour la taquiner.
– Alors Khalti Mliha ! ça va bien ?
– La vielle voyant où il voulait en venir, a gardé le silence.
– Au sujet de ton petit fils, est ce qu’il va bien ?
– La vielle ne répond pas.
– D’après son beau cartable et ses beaux habits, cela prouve qu’il travaille bien en classe
– La vielle ne répond toujours pas, bien qu’au fond d’elle-même elle bouillonnait.
– Le chauffeur persiste : Si tu veux mon conseil Khalti Mliha ! quand il aura son bac,
Je te conseille de lui choisir la filière « Informatique ou médecine » :
Ce sont deux domaines qui rapportent de l’argent.
A ce moment, la vielle a fini par s’énerver et se retourner contre lui.
– Ecoute chauffeur : Moi j’ai fait mon devoir, il ne manque de rien,
Et je lui paie même les cours supplémentaires ;
Si jamais il aura son bac comme tu le dis :
Il aura ce qu’il mérite :
S’il devient informaticien, je lui ouvrirai un cyber…où tu iras tchatcher…
Car tu parles trop,
S’il devient médecin, je lui ouvrirai un cabinet, où tu iras te soigner,
Car tu es malade,
S’il demeure toujours nullard, je lui achèterai un fourgon.
Une Surprise Inattendue
Suivie d’un Avantage Imprévue
Une parfaite harmonie régnait au sein d’une famille, jusqu’au jour, soit, 20 ans après, lorsque l’épouse surprend son mari en lui demandant le divorce.
D’emblée, le mari est resté bouche baie, ce n’est qu’un instant après qu’il a réagi.
– Chère épouse, de par ta générosité et ta bonté, j’avoue que tu me choques, j’espère que tu plaisantes!
Non ! Je ne plaisante pas et ce n’est qu’après mûre réflexion que je t’ai fait part de cette demande.
– Ai-je failli à quoi que ce soit, aussi bien envers toi ou envers nos enfants ?
Non ! Je reconnais que tu es un bon époux et tu as une bonne conduite seulement, il te manque un peu pour être complet : Et c’est ce peu qui me pousse et me donne raison de divorcer.
Tu n’as qu’un seul choix ; que tu m’accompagnes chez mes parents ou alors j’irai toute seule et c’est toi qui seras déshonoré.
Puisque tu es convaincue, je vais t’accompagner. Je souhaite seulement que tu reviennes sur ta décision.
En cours de route, son mari trébuche, tombe dans un fossé et il s’est fait casser une jambe.
Sa femme le relève doucement, et le transporte sur son dos jusqu’à la maison tout en prenant soin de lui jusqu’à sa guérison.
Quelques mois plus tard, le mari interroge sa brave épouse :
– Chère Madame, je dois avouer que je n’ai rien compris. Tu m’as demandé le divorce, j’ai accepté. Je suis blessé et tu m’as soigné et maintenant que je suis guéri, tu as renoncé à ta demande.
Cher époux : Tu viens d’avoir le peu qui te manquait et à partir de maintenant, nous allons revivre en harmonie.
– Qu’il est ce peu qui me manquait ?
Cela fait 20 ans depuis qu’on s’est marié, tu n’es jamais tombé malade ni eu même un mal de tête : Alors que pour se purifier de leurs fautes, mêmes les prophètes souhaitent tomber malades.
Une vieille chez le médecin
Une vieille se plaignant toujours de maux d’estomac, se rend chez un médecin.
Bonjour Docteur !
– Bonjour El Hadja ! Qu’est ce qui ne va pas ?
J’ai toujours des ballonnements et des nausées.
– Qu’est ce que vous mangez souvent ?
Je mange un peu de tout, mais le problème n’est pas lié à ce que je mange,
mais plutôt à ce que je pense.
– Qu’est ce vous pensez El Hadja ?
J’ai toujours l’impression d’avoir bu ou manger le double.
– Dans ce cas, il vous suffit de raisonner autrement.
S’il vous faut deux plats : Vous en prenez un et dites-vous que vous en aviez pris le double et de même pour la boisson.
S’il vous faut deux verres d’eau, vous en buvez un et dites vous que vous en aviez bu le double.
Eh ! Bien Docteur, je vous présente mes compliments pour votre traitement sans médicament.
Combien vous dois-je Docteur ?
– Vous me devez 800 dinars El Hadja.
Les voila Docteur et merci beaucoup.
– Mais !! Mais vous m’avez remis 400 dinars El Hadja.
C’est possible Docteur, mais pour moi je vous ai donné le double.
A propos de la femme
On dit que la femme est insondable ;
La femme est comme une ombre ;
Elle nous suit quand on la fuit ;
Elle nous fuit quand on la suit ;
Toujours est-il, il y a lieu de reconnaître ;
Que la femme mérite le respect et la considération ;
Pour sa présence constante et sa bienveillance ;
Envers ses enfants, son mari, ses parents et sa patrie ;
En restant toujours dans le domaine de la femme ;
Voici une charade ;
Mon premier, c’est ce que fait l’homme à la femme ;
Mon second, c’est ce que cache la femme à l’homme ;
Mon troisième, c’est ce que la femme attend de l’homme ;
Pour ne pas induire le lecteur à l’erreur, ou à se faire une mauvaise interprétation ;
Je me dois de donner la réponse ;
L’homme fait la cour à la femme ;
La femme cache son age à l’homme ;
La femme attend de l’homme un court-âge ;
A propos de l’homme
A 20 ans, il est comme un papillon…il se pose sur toutes les fleurs ;
A 30 ans, il est comme un train de banlieue…il s’arrête à toutes les gares ;
A 40 ans, il est comme un train rapide…il s’arrête aux grandes gares ;
A 50 ans, il est comme un train de marchandises…il s’arrête une seule fois au terminus ;
A 60 ans, il se voit comme un Album…où il consulte ses souvenirs : ce qui est mon cas, et
qui s’exprime par la page suivante.
La page de mon passé
Le quarantième anniversaire de notre école, a suscité en moi, la curiosité d’ouvrir mon
album, d’où j’ai titré ces deux photos historiques du C.E.R.I. où je figure quand j’avais
mes 27ans.
C’est au sein de cet établissement que j’exerce mes fonctions depuis 1975 à ce jour, pour dire
tout simplement, que c’est ici que j’ai vieilli et vécu tous les progrès de l’informatique :
Allant du système Batch « traitement par lots » à la micro-informatique, en passant par le
système inter-actif jusqu’à l’ère actuelle où l’Internet a réduit le monde jusqu’à une table
ronde.
En consultant mon album, cela m’a permis de revoir la page de mon passé
Que mon cœur veut relire et que nul ne peut effacer,car elle fait partie de mes meilleurs
Souvenirs ;
Ces souvenirs m’ont évoqué le bon vieux temps :
L’époque des galas, des fêtes semestrielles, des excursions et des tournois entre enseignants,
étudiants et travailleurs.
L’époque du foyer où les filles accordaient une danse aux garçons sans complexe ni arrière
pensée.
L’époque où les étudiants sont parfois contraints de perforer eux même leurs cartes en
utilisant une lame : Vous ne pouvez imaginer la précision et le temps que cela demande pour
perforer une seule carte.
C’était l’époque où l’on disait que le meilleur programmeur est celui qui détecte ses erreurs.
L’époque où notre meilleure passion était la lecture, la poésie, les chansons et dont même
notre passe-temps, portait sur des jeux instructifs : Les jeux d’échecs, les mots croisés et le
scrabble.
L’époque où l’on pressait le pas pour nous rendre au travail…Car le travail c’est la santé.
C’était l’époque où toutes les fonctions s’exerçaient par vacation, amour et conviction.
Je profite de l’occasion pour lancer un message aux étudiants.
Chers Etudiants
De par mes 34 ans de service au sein de votre communauté (ce qui m’a permis de garder
l’esprit jeune) : Je vous considère comme mes enfants.
Chers enfants :
Je ne saurai quoi vous dire, si ce n’est ce que l’école de la vie m’a appris et que l’expérience a
démontré.
Sachez qu’une seule raison vous suffit pour vous estimer très heureux : Celle d’être étudiant.
Comme l’a si bien dit un philosophe : je donnerai 20 ans de ma vie, juste pour redevenir
étudiant
La période estudiantine est comme le printemps et l’étudiant est comme un papillon.
L’idéal pour vous serait de joindre l’utile à l’agréable, soit, vivre votre phase avec ses joies et
ses difficultés tout en réussissant vos études afin de garantir votre avenir et vous préparer au
monde actif.
Le chemin de l’étudiant tend vers le savoir et le savoir est la clef de tout.
C’est par le savoir qu’on peut instaurer la paix, mettre fin à la pauvreté et créer l’union des
cœurs et rivaliser les pays développés.
C’est par le savoir tout simplement, qu’on peut accéder au monde de la civilisation.
C’est dans ce contexte que je vous souhaite la réussite et le progrès.
Je profite de l’occasion pour présenter mes hommages à tous ceux qui contribuent au progrès
de notre Ecole qui se prépare à répondre aux aspirations de nos enfants « les enfants de
l’Algérie »
La Nocive
Va t-en je n’en veux plus de toi !
Chaque nuit, je ne cesse de méditer ;
Pour trouver une raison de te quitter ;
Bien que les raisons n’en manquent pas ;
A commencer par la santé.
Chaque nuit. Je me dis demain c’est fini ;
Et pourtant dés que je me réveille ;
C’est toi qui me viens à l’esprit ;
Je t’ai assez supporté ;
Tu m’as roulé, ruiné et rouillé ;
Je ne te supporte plus.
J’ai pu combler le vide que m’a laissé ;
Ma plus chère au monde: [ma mère] ;
Celle qui me traitait avec affection et tendresse ;
Qui me serrait fort contre son cœur ;
Qui me berçait et restait à mon chevet .
J’ai pu également me passer ;
De son sein qu’elle me donnait ;
Pour me nourrir pour m’endormir et grandir.
Je me demande comment me suis-je attaché ;
A celle qui nourrit mes maladies ;
Qui m’a fait souffrir et vieillir ;
Qui nuit à l’humanité ;
Qui a fait de moi un squelette :
Et qui n’est autre que la cigarette.
REVENONS A
Lors d’un moment de faiblesse, il nous arrive de penser :
– Qu’il n’y a que les malheurs qui arrivent a l’heure
– Que ce qu’on attend avec impatience ne vient que pour endommager ;
Une plaie déjà infectée.
– Que toujours au moment où la paix commence a régner ;
Il y a une raison pour la briser : Alors qu’un malheur n’arrive jamais seul
et le plus souvent, il nous procure des avantages imprévus.
Dieu est au dessus de tous, il est maître
De l’univers et notre créateur
On se doit d’accueillir favorablement
Tout ce qui nous provient de Dieu, car
Il ne nous donne jamais quelque chose
À notre détriment.
S’il nous arrive d’être victime d’un
Accident, de tomber malade de temps
En temps et même souvent :
Ce ne sont que des messages, pouvant
Nous purifier de nos fautes afin de nous
Ramener à la raison.
Je ne suis pas un intellectuel ni un
Economiste pour apporter un jugement,
Seulement, quand je pense que Dieu nous a fait don :
D’une terre d’art et d’espoir ;
D’un pays de quatre saisons ;
D’une richesse du sol et du sous-sol ;
D’une vaste mer méditerranée ;
D’un merveilleux pays tous simplement ;
Alors qu’un simple travailleur en tant;
Que père de famille ne peut pas se permettre ;
Certains fruits et légumes durant leur saison ;
Une quantité suffisante en gaz butane;
Pour se chauffer en hiver ;
Ni même un Kilo de sardine en été.
Quant au poisson, le poulet, la viande ;
Et les voyages …ce ne sont qu’un rêve pour lui;
…qu’en dira celui qui n’a aucun revenu…
Plus malheureux encore, ce même;
Père de famille, se verra privé d’un ;
Bout de viande même durant le;
Ramadhan et ce à cause de la flambée;
Des prix qui commence bien avant;
Aussi paradoxal que cela puisse paraître :
Le mois le plus sacré ;
Le mois de la foi;
Porteur de paix, de réconciliation ;
Et de l’union des cœurs: est devenu
La période idéale pour s’enrichir.
Plus grave encore, ce même père
De famille qui souhaite vivre dignement
Se voit contrarié au point, où il ne peut plus
Se permettre d’aller au marché, au jardin ni
Voyager avec ses enfants à cause des grossièretés et des insultes
Qu’il ne peut pas supporter : Alors que notre religion nous ordonne
Toutes le bonnes mœurs et nous interdit toutes les mœurs viles.
Conclusion
Je dédie ce modeste ouvrage à mon ami Idir, estimé de tous ceux qui le connaissent :
Pour sa conduite, son dévouement, sa passion pour la lecture et surtout pour la photo.
Mon ami est actuellement condamné à garder le lit, suite à une grave maladie (la sclérose en
plaques).
En guise de témoignage à la solide amitié qui nous a uni durant de longues années, je me
dois de trouver une solution pour l’aider.
Après mûre réflexion, ce n’est qu’après et par la publication de ce modeste ouvrage que je
peux lui rendre un grand hommage.
Je profite de l’occasion pour rendre hommage :
v A tous ceux qui ne reculent pas devant leur devoir
v Aux chercheurs porteurs d’espoir
v A tous ceux qui luttent pour le savoir
La vie est un monde que l’on cherche quand on ne l’a pas
Et qu’on ne voit pas quand on l’a.
Tant qu’on en demande plus, cela prouve qu’on n’est pas satisfait.
Il serait donc plus sage de se conformer à notre religion.
Le meilleur de tous est celui qui se contente de ce qu’il a.
Le plus heureux est celui qui a une bonne compagne.
L’aimé de Dieu est celui qui meurt avant sa compagne,
Car ce n’est d’elle dont il aura besoin à un âge certain.