Le doctorat en sciences est régi par les textes réglementaires suivants :
Le décret exécutif n°98-254 du 17 août 1998 relatif à la formation doctorale, à la post-graduation spécialisée et à l’habilitation universitaire ;
Le décret exécutif n° 10-231 du 2 octobre 2010 portant statut du doctorant.
L’arrêté n° 153 du 14 Mai 2012 portant création d’un fichier central des mémoires et thèses et fixant les modalités d’alimentation et d’utilisation.
L’arrêté n° 704 du 16 Juin 2016 fixant les procédures et les modalités d’organisation de la cotutelle internationale de thèse de doctorat.
La circulaire n° 03 du 08 Mars 2018 relative aux conditions et aux modalités de soutenances d’une thèse de doctorat en sciences.
L’arrêté n°1082 du 27 décembre 2020 fixant les règles relatives à la prévention et la lutte contre le plagiat.
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L’accès au doctorat en sciences se fait sur titre. Il est exclusivement réservé aux titulaires d’un magister avec mention (très bien, bien ou assez bien) de l’Ecole de Doctorale STIC.
Le choix d’un sujet de thèse est un préalable à toute inscription en doctorat. Le candidat à une inscription peut, s’il le souhaite, continuer à travailler dans le même champ de recherche que celui dans lequel il a travaillé son magister. Il doit dans ce cas convenir d’un sujet de thèse avec son directeur de mémoire ou avec un enseignant et/ou chercheur d’un autre établissement.
Le candidat peut être intéressé par une thématique particulière. Il peut alors se rapprocher d’un enseignant chercheur de l’Ecole ou d’un autre établissement qui travaille sur la même thématique ou que cette thématique intéresse.
Le candidat peut être intéressé par un sujet proposé par un enseignant chercheur de l’Ecole ou d’un autre établissement.
Le candidat doit, dans tous les cas, s’interroger sur le caractère original du sujet, les verrous technologiques et/ou scientifiques à lever, la faisabilité du sujet dans les délais réglementaires.
La lecture de papiers récents dans la thématique qu’il envisage d’investir, des discussions approfondies avec l’enseignant et/ou chercheur disposé à l’encadrer aideront le futur doctorant à prendre une décision éclairée.
Le sujet de thèse doit faire l’objet d’un signalement par le doctorant dans le fichier central des thèses (arrêté n°153-2012).
Le directeur de thèse est un enseignant chercheur de rang magistral (professeur, maître de conférences de classe A, directeur de recherche ou maître de recherche A). Il peut être de l’Ecole ou étranger à l’Ecole. Le directeur de thèse peut être assisté d’un co-directeur également de rang magistral.
Le directeur de thèse est responsable de l’encadrement scientifique du doctorant. Il doit définir un échéancier des travaux et doit s’assurer du respect de cet échéancier par le doctorant. Le directeur de thèse doit également s’assurer du caractère actuel des travaux du doctorant et l’aider à les valoriser.
Le directeur de thèse doit signaler par écrit au Conseil Scientifique de l’Ecole tout manquement du doctorant à l’éthique ou à la discipline.
Le changement de directeur de thèse et/ou du sujet de thèse doit être justifié et ne peut se faire au-delà de la deuxième année. Il est décidé par le Conseil Scientifique de l’Ecole après avis du directeur de thèse.
Le changement de directeur de thèse et/ou du sujet de thèse n’induit pas une prolongation de la durée maximale de la formation.
L’inscription définitive du doctorant est prononcée par le Conseil Scientifique de l’Ecole.
Une fois inscrit, le doctorant est invité à verser à la régie de l’Ecole des frais d’inscription d’un montant de 200 DA. Une adresse email personnelle lui est remise par la DPGR. Cette adresse mail est la seule qu’il doive utiliser dans ses relations de travail avec son directeur de thèse et avec les différentes entités de l’Ecole.
Le candidat inscrit est, de fait, affilié au laboratoire de recherche auquel est (sont) affilié(s) son directeur de thèse et/ou son directeur de thèse.
La durée du doctorat est de cinq années consécutives. Les demandes (congé académique ou césure) pour en prolonger la durée ne sont pas acceptées.
Le doctorant qui n’aura pas finalisé sa thèse à l’issue de la cinquième année doit adresser une demande d’inscription dérogatoire au Directeur de l’Ecole. Cette demande doit être accompagnée de l’avis motivé du directeur de thèse. Le Directeur de l’Ecole peut, sur proposition du Conseil Scientifique de l’Ecole, accorder à titre exceptionnel une dérogation d’une année.
Le doctorant qui n’aura pas introduit de demande de dérogation ou le doctorant dont la demande aura fait l’objet d’un refus est exclu et son sujet retiré du fichier central des thèses.
La thèse est l’aboutissement de quatre années au moins (six au plus) de travaux sous la direction d’un directeur de thèse. Elle sera jugée sur son originalité et doit faire l’objet d’au moins une publication dans une revue scientifique de réputation établie.
La thèse doit être rédigée en français. La rédaction en anglais peut être autorisée si le doctorant et son directeur de thèse le jugent nécessaire. Le doctorant doit dans ce cas en formuler la demande, accompagnée de l’avis motivé du directeur de thèse, à la Présidente du CFD.
Le doctorant peut, à l’issue de la première année, avec l’accord de son directeur de thèse formuler le vœu de participer à des conférences nationales ou internationales, de bénéficier de stages de courtes durées ou d’une bourse de type PNE ou PROFAS.
L’appel à candidatures à un stage de courte durée est lancé par la DPGR via un formulaire google. La liste des candidatures retenues est publiée sur un procès-verbal du Conseil Scientifique de l’Ecole.
L’appel à candidatures pour des bourses de type PNE ou PROFAS est lancé par le MESRS. Il est relayé aux doctorants par la DPGR. La liste des candidatures de l’Ecole est publiée sur un procès-verbal du Conseil Scientifique de l’Ecole.
Des journées de présentation par les doctorants de leurs états d’avancement sont organisées chaque année en septembre par les laboratoires de l’Ecole. Chaque doctorant se voit confié à un jury formé de deux enseignants chercheurs, les mêmes pour toute la durée de la formation. Les conseils des laboratoires font, à l’issue de ces journées, une synthèse des évaluations. Cette synthèse est soumise au Conseil Scientifique.
La décision du Conseil Scientifique peut être :
« Favorable à la réinscription »
« Défavorable à la réinscription » auquel cas le doctorat est exclu
Le doctorant doit présenter un autre état d’avancement en mars prochain.
La procédure de réinscription n’est pas automatique. Elle doit être renouvelée chaque année universitaire, faute de quoi, le doctorant sera considéré en situation d’abandon.
Ne peuvent prétendre à une réinscription que les doctorants qui auront fait une présentation de l’état d’avancement annuel de leurs travaux.
Le dossier de réinscription doit être déposé au secrétariat de la DPGR entre le 1ier et le 30 octobre. Il comprend :
Le formulaire de réinscription visé par le directeur de thèse, le co-directeur de thèse s’il en est et le directeur du laboratoire. Le formulaire est disponible en téléchargement sur les sites web et intranet de l’Ecole.
Un état d’avancement des travaux de recherche du doctorant sur 4 pages.
Tout dossier incomplet, mal présenté ou déposé en dehors de cette période est rejeté.
Arrêt à l’initiative du doctorant
Le sujet de thèse est un projet ou une partie d’un projet réfléchi par le directeur de thèse avec parfois la collaboration de membres de son laboratoire ou d’enseignants chercheurs d’autres établissements. La défection du doctorant, peut remettre en cause la viabilité de ce projet ou, pour le moins, en retarder l’avancement. Le directeur de thèse doit informer le doctorant de l’impact que pourrait avoir la qualité de son travail. Le doctorant doit prendre la mesure de sa responsabilité.
Le doctorant ne peut mettre fin à son inscription qu’à l’issue de sa première année. Il doit, s’il juge impérieux de le faire, en informer par écrit son directeur de thèse et la DPGR. Sa demande peut être rejetée si les raisons invoquées ne sont pas acceptées.
Le doctorant qui abandonne son travail de thèse sans en informer son directeur de thèse s’expose à des sanctions.
L’ » abandon » du doctorant est prononcé par le Conseil Scientifique de l’Ecole.
Arrêt à la demande du directeur de thèse
Le directeur de thèse peut, à l’issue de la première année, peut demander de mettre fin à sa relation de travail avec son doctorant s’il considère que celui-ci ne s’investit pas suffisamment dans sa recherche, ne se présente pas aux réunions de travail.
La publication est le seul moyen pour le doctorant de faire connaître ses travaux de la communauté scientifique et de les soumettre à son appréciation. Elle accroît la visibilité de l’Ecole et participe à son rayonnement scientifique.
Le doctorant ne doit publier qu’en concertation avec son directeur de thèse.
Pour pouvoir soutenir, le doctorant doit justifier d’une publication internationale – acceptée ou publiée – de classe A ou de classe B selon le classement de la DGRSDT et classée pour le moins B dans Core et/ou pour le moins Q3 dans Scimago à la date de la soumission.
La position du doctorant sur la liste des co-auteurs des communications, publications ou brevets résultats de ses travaux de recherche doit être décidée d’un commun accord avec son directeur de thèse. Son nom doit apparaître en première position de la liste des co-auteurs de l’article qu’il envisage de faire valoir pour sa soutenance.
Le doctorant doit faire figurer les noms de l’ESI et du laboratoire (voir tableau ci-dessous) auquel il est affilié dans toutes les publications dont il est l’auteur ou le co-auteur. Les publications où n’apparaissent pas correctement écrites ces deux affiliations ne sont pas prises en considération dans l’évaluation du doctorant.
Laboratoire des Méthodes de Conception de Systèmes (LMCS)
Ou bien
Laboratoire de la Communication dans les Systèmes Informatiques (LCSI)
Ecole nationale Supérieure d’Informatique (ESI), BP, 68M Oued-Smar,16270 Alger, Algeria
Le SNDL (sndl.cerist.dz) permet l’accès à une documentation en ligne dans tous les domaines scientifiques. Pour y accéder, le doctorant doit disposer d’un compte individuel qui lui est remis par le directeur du laboratoire auquel il est affilié.
Plagier est l’acte de reproduire tout ou partie d’un travail sans en citer l’auteur. Le plagiat ne consiste pas seulement à faire du « copier – coller ». Il peut prendre entre autres les formes suivantes :
Paraphraser une idée qui ne nous appartient pas, i-e la formuler à notre façon et sans en citer l’auteur.
« Copier – coller » ou reprendre à l’identique des parties d’un document sans les mettre entre guillemets et sans en citer la source. L’usage du » copier – coller » doit être réduit à son strict minimum même avec les guillemets.
Traduire d’une langue à une autre tout ou partie d’un document sans en citer la source.
Insérer dans un document des phrases, une multitude de fragments de phrases prises à partir de différentes sources (ou plagiat en mosaïque).
Reproduire une idée et/ou tout ou partie d’un document, qui nous appartient sans en citer la référence. Cela s’appelle de l’auto-plagiat.
Se faire rédiger par une tierce personne tout ou partie de sa thèse, de son article, …
Le plagiat, quelle qu’en soit la forme, qu’il soit intentionnel ou qu’il ne le soit pas, est une atteinte à la propriété intellectuelle. C’est un acte de vol. C’est un acte qui ternit autant la réputation de son auteur que celle de son établissement. Il est d’autant plus condamnable lorsqu’il est commis par un universitaire. L’Arrêté 1082 du 27-12-2020 dispose que « Tout acte de plagiat, de falsification de résultat ou de fraude en relation avec les travaux scientifiques revendiqués dans le cadre de la thèse et dûment constaté pendant ou après la soutenance expose le candidat à l’annulation de la soutenance ou au retrait du titre acquis, sans préjudice des sanctions prévus par la législation et la règlementation en vigueur ».
Il existe de nombreux outils de détection de plagiat. Certains sont gratuits. Le doctorant peut les utiliser pour s’exercer et se débarrasser de certaines mauvaises pratiques de rédaction. Il s’en servira surtout pour corriger ou supprimer de sa thèse les passages qu’il aurait pu plagiés.
L’ESI s’est dotée d’un logiciel pour la détection de plagiat dans les mémoires et thèses des étudiants. Chaque enseignant de l’Ecole dispose d’un compte pour l’utilisation de ce logiciel. Il s’en servira, lorsqu’il est directeur de thèse, pour détecter la présence de plagiat dans les thèses de ses doctorants. Le certificat d’analyse délivré par ce logiciel est une pièce à joindre au dossier de soutenance.
La soutenance est régie par le décret n°98-254 du 17 août 1998 et la circulaire n°3 du 08 mars 2018.
Dans le souci de réduire autant que faire se peut la consommation de papier et les déplacements du doctorant, il lui est demandé, dans un premier temps, d’adresser une copie numérique au format PDF de son dossier de soutenance à la DPGR ([email protected]). La période de dépôt des dossiers de soutenance va du 1ier septembre au 1ier juin.
Le dossier de soutenance doit être présenté dans le format décrit dans le tableau ci-après. Les différents modèles sont disponibles en téléchargement.
Important. Insérer chaque document dans la place qui lui est réservé dans chaque modèle.
Le doctorant sera invité, en temps opportun, à déposer un exemplaire, deux ou trois le cas échéant, du dossier de soutenance au format papier. Les différentes parties du dossier doivent être classées dans des volumes séparés (voir tableau ci-dessous).
Volume 1. | Le dossier administratif. |
Volume 2. | Le dossier scientifique contenant : |
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Volume 3. | Une copie de la thèse de doctorat accompagnée du certificat d’analyse délivré par le logiciel compilatio. |
Volume 4. | Un résumé sur 15 à 20 pages de la thèse |
Le doctorant peut, d’un commun accord avec son directeur de thèse, soumettre son dossier de soutenance au Conseil Scientifique de l’Ecole s’il réunit les conditions suivantes :
Avoir enregistré quatre (04) inscriptions consécutives au moins
Justifier d’une publication internationale de classe A ou de classe B selon le classement de la DGRSDT et classée pour le moins B dans Core et/ou Q3 dans Scimago à la date de la soumission.
Le Conseil Scientifique procède à une évaluation des différentes parties du dossier du candidat. Sa décision est l’une des suivantes :
Désignation de deux experts pour se prononcer sur la soutenabilité de la thèse.
Avis défavorable à la soutenance (la revue n’est pas bien classée, la revue est prédatrice, l’Ecole et le laboratoire n’apparaissent pas dans la partie affiliation de la revue, ….)
Les experts désignés par le Conseil Scientifique doivent rendre leurs rapports dans un délai de 45 jours au plus.
Sur la base des rapports d’expertise, le Conseil Scientifique décidera d’un avis » favorable à la soutenance » ou d’un avis » défavorable à la soutenance « . Dans le premier cas, le CS constitue un jury de 4 à 6 membres dont le président est un enseignant de l’Ecole et dans lequel doit figurer le directeur de thèse ou le cas échéant le co-directeur de thèse mais pas les deux. Dans le second cas, un délai sera accordé au doctorant pour soumettre une version révisée de son dossier. Ce délai sera fonction des insuffisances constatées dans le dossier
La décision motivée du CS est communiquée au directeur de thèse et au doctorant.
Les documents de thèse sont remis aux membres du jury par la DPGR. Le doctorant ne doit en aucun cas s’immiscer dans la composition de son jury de thèse et ne doit à aucun moment prendre attache avec les membres du jury pendant le processus d’évaluation de sa thèse.
Les membres du jury doivent rendre leurs rapports de lecture à la DPGR dans un délai n’excédant pas 60 jours. Les rapports de lecture sont communiqués au directeur de thèse et au doctorant.
Le directeur de thèse est en droit de récuser les observations et les réserves qui pourraient figurer dans les rapports de thèse des membres du jury. Le Conseil Scientifique de l’Ecole désigne, lorsque cela se présente, un deuxième jury. Les réserves de ce deuxième jury doivent être prises en charge. Sa décision quant à la soutenabilité de la thèse est prise à la majorité des voix, celle du président étant prépondérante en cas de partage des voix.
Sur la base du rapport du président du jury de soutenance, le Directeur de l’Ecole établit une » décision de soutenance « .
La soutenance est annoncée sur le site web de l’Ecole, au moins sept jours avant la date convenue avec les membres du jury.
La soutenance peut se dérouler par visio-conférence. La présence du président du jury, du directeur de thèse et d’un examinateur au moins est requise à l’Ecole.
A l’issue de la soutenance, le doctorant se voit conférer le titre de docteur en informatique avec la mention « honorable » ou « très honorable ».
Le doctorant doit apporter à sa thèse, dans les délais qui lui auront été fixés par le jury de soutenance, toutes les corrections qui pourraient lui avoir été demandées par les membres du jury.
Le président du jury établit un rapport de levée des réserves une fois qu’il aura fait le constat que le doctorant a apporté à sa thèse toutes les corrections qui lui auront été demandées par les membres du jury.
Une attestation de diplôme est délivrée au doctorant lorsqu’il aura procédé au dépôt de sa thèse.
Le doctorant dépose :
Une copie numérique et un exemplaire papier de la version finale de sa thèse à la DPGR.
Une copie numérique et un (01) exemplaire papier de la version finale de sa thèse à la bibliothèque de l’Ecole. La copie numérique est destinée à la consultation en ligne. Un exemplaire papier de la thèse est destiné à la consultation en présentiel et l’autre à la consultation en ligne.
Les services de la bibliothèque se chargent de déposer une copie numérique de la thèse du doctorant dans le fichier central des thèses.
La DPGR partage avec le doctorant et son directeur de thèse un fichier dans lequel sont indiquées les différentes étapes par lesquelles est passé le dossier de soutenance.
La soutenance dans une langue autre que le français est subordonnée à l’avis du Conseil Scientifique. Une demande motivée doit être formulée au CFD par le doctorant et visée par son directeur de thèse avant que le doctorant n’entame la rédaction de sa thèse.
Elle est fixée par la DPGR d’un commun accord avec les membres du jury et communiquée au doctorant et à son directeur de thèse.
La soutenance est publique. Le Directeur de l’Ecole peut à titre exceptionnelle autoriser une soutenance à huis clos si le sujet de thèse présente un caractère confidentiel avéré.
Le doctorant dont la soutenance est programmée pour une date postérieure au 30 octobre est tenu d’introduire une demande de réinscription.
A moins qu’elle n’y renonce au profit du doctorant, les travaux scientifiques élaborés par le doctorant dans le cadre de sa thèse sont de droit la propriété de l’Ecole.
Le candidat, qui, dans le cadre de ses travaux, a accès à des informations confidentielles ou à diffusion restreinte, s’engage à ne pas utiliser ces informations dans la rédaction de sa thèse, à moins d’avoir une autorisation écrite de l’institution concernée avant le dépôt de sa thèse.
En cas de conflit durable entre le doctorant et son directeur de thèse ou le directeur du laboratoire, la Présidente du CFD fait appel à un groupe de médiation. En cas d’échec de la médiation, la Présidente du CFD s’en remet au Directeur de l’Ecole et président du conseil scientifique. Sa décision est sans appel.